dimanche 21 octobre 2012

Musée de Saint-Romain-En-Gal et Exposition Péplum.

                                        C'est à nouveau avec l'association Carpefeuch (site web ici) que j'ai pu découvrir ce Dimanche le musée de Saint-Romain-En-Gal, près de Vienne. Et croyez-moi : pour que je daigne me lever aux aurores un Dimanche, il faut vraiment que ce soit pour la grandeur de Rome ! Mais le sacrifice en valait la peine, et la journée fut agréable - bien que fraîche - pour une visite en deux parties : le musée à proprement parler le matin, puis l'exposition temporaire consacrée au péplum l'après-midi. Et bien sûr, je ne peux résister au plaisir de me faire l'écho de cette expérience sur mon blog.

LE MUSÉE DE SAINT-ROMAIN-EN-GAL.


                                       Malheureusement, un timing serré a donné à la visite l'allure d'une campagne napoléonienne au pas de charge ! Ce qui est d'autant plus dommage que notre guide était aussi sympathique et dynamique qu'intéressante... En un temps record, elle nous a permis de découvrir quelques-uns des trésors du musée, et d'appréhender grossièrement le parcours proposé. Construit sur le site archéologique, l'établissement recrée en effet tout un quartier de la Vienne antique, à travers de nombreuses maquettes et reconstitutions qui permettent au visiteur de plonger dans la vie quotidienne de ses habitants, au cours des premiers siècles.

Musée de Saint-Romain-En-Gal. (©France3 RA)

                                        Située sur les rives du Rhône, dont la vallée la place en contact direct avec le bassin méditerranéen, la ville était alors un important carrefour commercial et économique. Témoins de cette situation géographique privilégiée, les entrepôts publics s'étendaient sur près de 5 hectares : y étaient stockés les produits acheminés sur le Rhône, puis par le biais de la voie romaine partant du bord du fleuve ; cette organisation permettait leur déchargement direct et leur transport vers ses lieux de stockage. On pense que les produits conservés étaient convoyés depuis toute la Gaule, et sans doute destinés à Rome. Ce n'est d’ailleurs pas un hasard si la mosaïque mise en exergue dans la première salle du musée représente quatre têtes du Dieu Océan, entouré de poissons et de coquillages : elle montre bien à quel point la proximité du Rhône, vecteur du développement économique, a conduit à l'essor du site et, en  offrant aux habitants l'opportunité de s'enrichir, a créé les conditions nécessaires à l'essor d'un mode de vie romanisé parmi les élites.

Maquette de Vienne au IIème siècle.

                                        La maquette de la ville de Vienne est impressionnante. Elle la présente telle qu'elle était au IIème siècle, au plus fort de son extension, soit approximativement 200 hectares, répartis de façon égale de chaque côté du Rhône. Sur la rive gauche (celle où est aujourd'hui implanté le musée) s'élevait le forum, cœur de la cité, surplombé par des constructions en  terrasses, parmi lesquelles un théâtre. Un cirque (hippodrome) avait été construit plus au Sud, dans la plaine. Sur la rive opposée, les entrepôts, les boutiques, les ateliers artisanaux (dont les quartiers des potiers et des foulons) et les grandes maisons d'habitation formaient un quartier urbain, à la fois commercial et résidentiel. Les archéologues s'interrogent encore sur l'absence d'un amphithéâtre (arènes) : si certains pensent que les vestiges n'ont pas encore été mis au jour, d'autres avancent en revanche que Vienne n'était sans doute pas équipée d'un tel édifice. Selon ces derniers, les installations existantes (Odéon notamment) et les scènes figurées sur les nombreuses mosaïques du site laisseraient à penser que la population locale était davantage empreinte de culture hellénistique, et négligeait les combats de gladiateurs, chasses, etc.

                                        Pourtant, les immenses villae dégagées à Saint-Romain-En-Gal témoignent de la romanisation des classes supérieures, et de leur aspiration à être perçues comme telles. Cette ambition, combinée à une fortune récente ne manque pas d'évoquer le Trymalchion de Pétrone, ce nouveau riche vulgaire qui tient un peu du milliardaire russe, alliant opulence et goût du kitsch... Au point que notre guide qualifie gentiment nos viennois antiques de - je cite - "ploucs qui se veulent Romains" ! Avec exemple à l'appui : une mosaïque, notamment, qui combine tesselles et pâte de verre brillante - moins luxueuse, mais préférée par le propriétaire car plus impressionnante, plus... "bling bling" !

Maquette d'une des villae antiques.

                                        Il faut bien admettre que, ploucs ou pas, les maquettes des villae laissent rêveur : celle de la Maison des Dieux Océans, par exemple, qui doit son nom à la mosaïque décrite plus haut. Immense (3000 m²), elle étonne par l'espace dédié aux jardins intérieurs, dans le péristyle, et qui occupent environ les 2/3 du bâtiment. Bassins et jets d'eau entourent le triclinium d'été, pendant de la salle à manger intérieure.

Reconstitution d'un triclinium.
Le musée montre également la reconstitution d'un triclinium, avec les lits de repas disposés en forme de U, autour d'une mosaïque dont l'illustration, orientée face aux convives, est encadrée par des motifs géométriques, placés sous les meubles. Autre reconstitution, celle d'un cubiculum (chambre), la mosaïque indiquant l'emplacement du lit par des figures géométriques tandis que le reste du sol est orné de motifs figuratifs - ici, des dauphins et monstres marins.




                                        Les mosaïques, justement, sont sans conteste les pièces maîtresses de la collection. Le talent du pictor imaginarius (qui dessine les modèles) est le fruit d'une longue transmission (les croquis passent  de génération en génération) autant que d'un fastidieux apprentissage. Les mosaïques de Vienne se caractérisent par certaines spécificités, comme les tresses encadrant les motifs. (Voir ci-dessous) Cependant, on retrouve parfois des influences lointaines, des similitudes avec l'artisanat syrien notamment : importation de certains éléments de style, ou installation sur place d'un artisan syrien ? Le mystère demeure...

                                        Hormis celle du Dieu Océan, nous avons pu admirer trois mosaïques en particulier :

  • La mosaïque des "Athlètes vainqueurs" : des athlètes (lutteurs, pugiliste, coureur, etc) récompensés par des palmes sont représentés autour d'Hercule tuant le lion de Némée, évocation de la force et du courage. On remarque aussi des masques de théâtre (indice permettant d'imaginer des spectacles à la Grecque, mêlant théâtre et compétition sportive) et, au quatre coins de l’œuvre, l'illustration des quatre saisons.
Mosaïque des Athlètes Vainqueurs.

  • La mosaïque d' "Orphée charmant les animaux" : s'il est surtout célèbre pour sa descente aux Enfers, où il se rend afin d'en ramener sa fiancée Eurydice, Orphée est ici représenté la lyre à la main, en train de chanter pour apaiser les animaux.
Mosaïque d' "Orphée Charmant Les Animaux".

  • La mosaïque du "Châtiment de Lycurgue" : située dans le triclinium d'une riche demeure, elle se démarque pas sa couleur, un vert splendide, et une forte influence tunisienne. Lycurgue, roi de Thrace, avait refusé l'hospitalité à Dionysos et à ses nourrices, et les avait attaqués : la bacchante Ambrosia  sauva sa vie en se métamorphosant en vigne, et le Dieu s'enfuit en sautant dans la mer. Sa vengeance fut terrible : Lycurgue fut frappé de folie et devint aveugle. Ici, ce qui subsiste de la mosaïque montre Bacchus et Pan, festoyant face aux convives, tandis que Lycurgue (au centre) se débat avec la vigne envahissante. Outre la beauté de la réalisation, le choix d'un motif fortement connoté (Lycurgue, homme sauvage et barbare, est puni par la vigne qui, au contraire, symbolise la civilisation au même titre que Bacchus) dénote à nouveau un fort désir de romanisation.
Mosaïque du "Châtiment de Lycurgue" (Détail)


Latrines.
Comme je l'ai dit, nous n'avons vu qu'une infime partie du musée. De même, nous n'avons pas pu profiter des vestiges mis en valeur à l'extérieur du bâtiment : thermes, palestre, villae, ateliers... Toutefois, nous avons eu l'occasion de voir... les latrines jouxtant l'ensemble thermal ! Étrangement, les latrines semblent exercer une fascination certaine sur les archéologues (je pourrais vous raconter comment je me suis retrouvée, un jour, dans les toilettes d'Anne de Bretagne !!!) : si les thermes étaient le lieu de rencontre où se croisaient toutes les classes sociales, les latrines jouaient apparemment le même rôle ! On peut comprendre, cela dit, que les habitants de Vienne s'y soient attardés : murs de marbre, fontaines, bassins, hygiène assurée par l'eau courante... Que de luxe dans ces lieux d'aisance ! Une peinture, en particulier, retient l'attention : juxtaposition de tableaux illustrant les sports de la palestre (l'espace jouxtant les thermes et dédié à l'exercice physique), on y voit des athlètes nus. Seul l'arbitre est habillé, à l’extrémité de la fresque : il indique la sortie vers les bains. Les toilettes du musée actuel sont tout de même moins amusantes (et moins conviviales !), mais il est à noter qu'un effort a été fait quant au panneau indicateur !

Fresque des latrines. (Détail)


Fresque des latrines contemporaines !

                                        Blague à part, ce musée riche et complet jouit d'une belle mise en scène, didactique et vivante. Il ne fait aucun doute que j'y retournerai, afin de découvrir le reste des collections.


PAUSE DÉJEUNER... ET GOURMANDISE LATINE !


                                        Il n'est pas dans mes habitudes de vous raconter ma vie, mais je vais faire une exception pour saluer la propriétaire du salon de thé dans lequel j'ai déjeuné : c'est avec une grande gentillesse qu'elle nous a accueillies, mes camarades et moi, nous offrant un abri bienvenu par une température polaire. J'ai une autre raison, plus pertinente, de vous citer cet établissement : on y vend du chocolat (du  vrai, bon chocolat, "sans lécithine de soja", m'a précisé la dame), et en particulier une reproduction du Temple de Vienne, dédié à Auguste et Livie ! Ou quand la romanité se conjugue avec la gourmandise...

Temple de Livie Et Auguste... en chocolat !

L'EXPOSITION PÉPLUM.


Liz Taylor incarne Cléopâtre.
 L'après-midi était consacrée à l'exposition sur le péplum, dirigée par Claude Aziza, qui nous a fait l'honneur d'une visite guidée et d'une conférence sur le sujet, avec l'érudition et l'humour dont il est coutumier. La manifestation est constituée de deux volets : l'un à Lyon où le péplum illustre les collections du musée, et l'autre à Saint-Romain-En-Gal avec la démarche inverse. Ici, il s'agit de décrypter le péplum, en en révélant les sources d'inspiration et en mettant en lumière les ressorts qui le constitue. Dans le hall d'entrée, le tableau de Lionel Royer, "Vercingétorix Jette Ses Armes Aux Pieds De César" donne le ton : l'imagerie antiquisante, qui nourrit et se nourrit de l'imaginaire et des idées reçues, donne à voir des mythes qui, pour aussi plaisants qu'ils soient, n'en restent pas moins des légendes. Claude Aziza se définissant lui-même comme un destructeur de mythes (je paraphrase, mais l'idée est là), le ton est donné !


© Musée de Saint-Romain-En-Gal.

                                        Mais ce passionné de péplums a œuvré, pour cette exposition, au sein d'une scénographie originale : des salles autonomes se côtoient, sans aucun ordre de visite, afin que le visiteur puissent les parcourir à son rythme et selon son goût. Chacune, par un bref montage de 2 à 3 scènes de films marquants, illustre un aspect propre au péplum et questionne ses origines, son rapport aux sources et aux faits par la présentation d'objets et d'illustrations. Signalons que certaines des séquences montrées sont rarissimes - à l'instar de ce "Néron essayant des poisons sur des esclaves", l'un des deux premiers films antiquisants (G. Hatot - 1897). Mais vous pourrez aussi visionner des passages des diverses versions de "Spartacus" ou des "Derniers Jours De Pompéi", de "Les Dix Commandements", "Samson Et Dalila", "Cléopâtre", "Ben-Hur", "La Vie De Brian", "Les 12 Travaux D'Hercule", "Scipion l'Africain", "La Chute de L'Empire Romain", "Le Forum En Folie", "Salomon Et La Reine De Saba"...

"Néron Essayant Des Poisons Sur Des Esclaves".

                                        Quant aux thèmes abordés, les voici (mais je me mélange peut-être les cnémides car j'étais tellement passionnée que j'en ai oublié de prendre des notes !) :

  • La religion : où l'on montre notamment comment l'intervention divine est représentée dans les péplums, tant pour les monothéismes que les polythéismes - ainsi que les cultes à mystères. 
  • Les super-héros : personnages mythologiques, bibliques, ou d'invention récente (Maciste), ces surhommes à la musculature impressionnante (souvent incarnés par des stars du culturisme) sont en général doté d'une force surnaturelle qui leur permet de surmonter les épreuves auxquelles ils sont confrontés.
  • Les catastrophes : élément indispensable, clou du spectacle voire élément central de certains péplums ("Les Derniers Jours De Pompéi"), la catastrophe peut être naturelle (éruption volcanique, séisme, etc.) ou la manifestation d'une punition divine (Les plaies d’Égypte).
  • Les batailles : encore des scènes spectaculaires, où l'on multiplie les figurants. (Ce n'est pas un péplum mais, pour l'anecdote, mon grand-père a joué un soldat français dans un film sur Napoléon... avant d'interpréter un Prussien, en changeant d'uniforme et en cavalant dans l'autre sens !)
  • Les jeux du cirque : scènes typiques, renvoyant immédiatement le spectateur à l'Antiquité, les jeux du cirque, les combats de gladiateurs et les courses de chars sont immanquablement faites sur le même moule, avec un héros en fâcheuse posture, qui finit par déjouer les pronostics. (Et s'il meurt, c'est après avoir vaincu son adversaire, au terme d'un combat truqué - "La Chute de L'Empire Romain" ou "Gladiator" !) Certaines sont devenues culte : la course de chars de "Ben-Hur", évidemment !
  • Danses, festins et orgies : scènes récurrentes, les trois éléments se mêlant très souvent. Avec une mise en parallèle amusante de la danse des 7 voiles de Salomé (Rita Hayworth dans "Salomé" de W. Dieterle - 1953) et du banquet du "Satyricon" de Fellini (1969).
  • Genres : ce module montre la répartition des rôles et les stéréotypes inhérents aux deux sexes dans le péplum, tant dans leurs oppositions que dans leur interaction.
  • Idéologie : le montage met l'accent sur la façon dont le péplum peut parfois mettre en lumière les questions actuelles, en plaquant sur un sujet en apparence antique une problématique contemporaine. "Scipion L'Africain" (C. Gallone - 1937) illustre ainsi les prétentions coloniales italiennes sur la région éthiopienne en soulignant une prétendue légitimité et portée civilisatrice ; "La Chute De L'Empire Romain" (A. Mann - 1963) traite en creux de la guerre froide.
  • Pastiches et publicité : un genre qui vire si souvent au kitsch ne pouvait manquer d'inspirer les humoristes, qui ne se sont pas privés d'en détourner les codes. La publicité s'en est également emparé, soit qu'elle en fasse le pivot de sa communication, soit qu'elle l'utilise dans le nom des produits. Voire les deux, à l'instar du savon "Cléopatra".
  • Décors monumentaux : souvent spectaculaires mais rarement fidèles à la réalité historique, ils font partie intégrante des péplums.


"Cléopâtre Essayant Des Poisons Sur Des Condamnés A Mort"

                                        Au-delà de ces différentes thématiques, ce sont les origines du péplum qu'éclaire cette exposition : un genre qui s'est inspiré de l'opéra, de la peinture et de la littérature. Si le péplum est l'héritier de l'opéra (on y retrouve souvent des thèmes similaires, des décors grandioses, et l'omniprésence d'une musique soutenant texte et action), un véritable chassé-croisé s'est mis en place entre les deux arts : j'ai ainsi appris que la troupe de la Scala de Milan avait joué dans un des premiers péplums... muet (!), mais on pense aussi à la Callas, interprétant Médée dans le film éponyme de Pasolini.(1969) Quant à la peinture, son influence n'en est pas moins évidente. Elle se manifeste dès les origines du péplum, le "Néron Essayant Du Poison Sur Des Esclaves" (1897) renvoyant au tableau de Cabanel, "Cléopâtre Essayant Des Poisons Sur Des Condamnés A Mort" (1887). De même, les peintres pompiers (Gérôme, Bouguereau, etc.), ou Gustave Moreau dans une moindre mesure, en puisant leurs sujets dans une antiquité fantasmée mais cependant riche en détails, offrent au cinéma balbutiant des sujets tous trouvés. Pour l'anecdote, sur les 81 sujets imposés lors du Prix de Rome entre 1800 et 1881, 78 concernaient des thèmes antiques ou bibliques, largement repris par le péplum. Aujourd'hui encore, certaines oeuvres frappent toujours l'imagination des cinéastes : Ridley Scott ne le confirme-t-il pas, lorsqu'il assure avoir trouvé l'inspiration pour son film "Gladiator" (2000) devant le célèbre "Pollice Verso" de Jean-Léon Gérôme ?


"Pollice Verso".

                                        Cependant, si le péplum emprunte une très grande part de son esthétique à la peinture et à l'opéra, il va surtout se nourrir de littérature. Les mystères médiévaux et la tragédie classique lui offrent des sujets bibliques (dans le premier cas) et païens (dans le second) - bien qu'étrangemment, on observe quelques différences : l'absence des héroïnes se fait ainsi sentir dans le péplum, au contraire des pièces de Racine par exemple (Bérénice, Andromaque, etc.) Dans le roman populaire, le péplum trouve des codes : antagonsime héros / "méchant" ("Ben-Hur"), enfant aux origines familiales obscures qui doit surmonter les épreuves pour lever le mystère sur ses origines et être rétabli dans son droit (Moïse étant le plus célèbre), dynastie de héros ("Le Fils De Spartacus" - S. Corbucci 1962.) etc. La vague du roman historique enfin, initiée par Walter Scott en Angleterre et Chateaubriand en France donne naissance à un genre qui ne cessera de fournir au péplum sa matière première : "Ben-Hur" de Lewis Wallace, "Fabiola" du Cardinal Wiseman, "Quo Vadis" de Sienkiewicz...

Il serait trop long de retracer ici toute l'histoire du péplum, ou d'analyser les influences qui ont conduit à l'apparition de ce genre cinématographique si particulier. Du reste, tel n'est pas le but de cet article. Toutefois, outre mon propre article sur le péplum ici , je ne saurais trop vous recommander deux livres pour approfondir le sujet : "Le Péplum, Un Mauvais Genre" et "Guide De L'Antiquité Imaginaire", tous deux du même Claude Aziza. (Références à la fin de ce billet.)

Sachez enfin, pour conclure, que que Claude Aziza a devancé la question que nous n'aurions pas manqué de lui poser : quels sont les films à voir impérativement ? Sa réponse : "Jason Et Les Argonautes" et "La Chute De L'Empire Romain". Vous savez ce qui vous reste à faire... Quant à visionner ces films avant ou après l'expo de Saint-Romain-En-Gal, je vous laisse le choix !


MUSÉE DE SAINT-ROMAIN-EN-GAL.
R.D 502
69560 Saint-Romain-en-Gal

Tél. : 04 74 53 74 01
Fax. : 04 74 53 74 19
saintromain@rhone.fr 
http://www.musees-gallo-romains.com

Ouvert du mardi au dimanche, de 10h à 18h. (sauf les 1/01, 1/05, 1/11 et 25/12)
Musée - 4 € (tarif réduit 2,5 €)
Exposition - 3 € (tarif réduit 2 €)
Billet couplé Péplum Lyon / St-Romain-En-Gal - 7 € (tarif réduit 4.50 €)
Gratuit les jeudis et tous les jours pour les moins de 18 ans. 

LIVRES.

"Le Péplum, Un Mauvais Genre" de Claude AZIZA - Éditions Klincksieck : lien ici.
"Guide De L'Antiquité Imaginaire " de Claude AZIZA - Éditions Les Belles Lettres : lien ici.

"LES DÉLICES DU TEMPLE" - PÂTISSIER/ CHOCOLATIER / GLACIER.
23 rue de l’Éperon
38200 Vienne

Tél. : 04 74 85 02 83



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